HUMANI-TERRE
Imagerie ElectroPhotonique de Bio-Well
La technologie "GDV" (Gaz Discharge Visualisation) ou "EPI" (ElectroPhotonic Imaging), mise au point par le Professeur Korotkov depuis une vingtaine d'années, permet un "scan" rapide du Champ Energétique de la personne par simple enregistrement au niveau des doigts (photographie utilisant "l'effet Kirlian") du rayonnement des photons émis par le corps humain.
Il s'agit d'une technique de santé "prédictive" qui permet d'anticiper les troubles potentiels et de déterminer de façon fiable les axes d'amélioration de l'état de Santé. Elle permet de lire l'information avant qu'elle s'inscrive dans la matière. Elle reflète l'état fonctionnel des organes, des méridiens d'acupuncture, des centres d'énergie ayurvédiques.
Le Professeur Konstantin Korotkov
Il est Docteur en Électronique Physique de l’Université Polytechnique de Saint Pétersbourg (Russie), Docteur ès Sciences en Ingénierie Médicale de l’Université de Saint Pétersbourg.
De 1975 à 1983, il a occupé la chaire d’Electronique Physique à L’Institut Polytechnique de Leningrad.
De 1983 à 1993, il a accompli des travaux scientifiques dans des organismes d’état.
Depuis 1993, il est Professeur, chargé de recherches au Département des Technologies Informatiques de Mécanique et d’Optique à l’Université d’État de Saint Petersbourg.
Depuis 2002, il est membre du Bureau des Directeurs d’Energy Health Applications Inc., USA et du Bureau « National Biotechnology Consultant LLC » (USA).
Depuis 2003, il est le Directeur Scientifique d’Energy Field Imaging, Inc. USA (Imagerie des Champs d’Energie).
Depuis 2020 il est Directeur Adjoint de l’université de Saint Petersbourg
Chercheur et découvreur de pointe sur le plan international, USA compris, il est l’auteur ou le coauteur de plus de 200 publications scientifiques éditées dans des revues reconnues du monde entier.
Quelles origines ?
Cette technologie est la version automatisée de la photographie Kirlian, et développée en 1995 par un groupe de scientifiques russes dirigé par le Dr Korotkov. La caméra GDV/EPI de Bio-Well est l'appareil le plus récent et le plus approfondi, développé par la société Bio-Well. Pour en savoir plus
La caméra Bio-well est reconnue en Russie par le Ministère de la Santé et en Europe via le diplôme universitaire du pôle de Médecine Intégrative de l'Université de Madrid.
Elle est utilisée dans de nombreux pays, autant par des médecins que par des thérapeutes.
Comment ça marche ?
L'appareil Bio-Well utilise un courant électrique faible, totalement indolore, appliqué au bout des doigts pendant un dixième de seconde. La réponse de l'objet à ce stimulus est la formation d'une émission électronique et photonique. Cette émission stimule les molécules d'air, provoquant une lueur qui est capturée par la caméra vidéo intégrée. L'image numérique de la lueur est ensuite transmise à l'ordinateur pour un traitement par le logiciel Bio-Well et une analyse par le spécialiste de Bio-Well. Le nombre d'électrons et photons émis dépend de l'état des flux d'énergie dans le bout du doigt.
La quantité de lumière émise donne une estimation de l'énergie de la personne, tandis que sa structure donne une estimation du stress. Pour en savoir plus
L'application principale du dispositif Bio-Well est donc une évaluation de l'Energie et du Stress par traitement informatique de la lueur de la décharge d'air formée par l'émission stimulée du bout des doigts.
Historique de l’imagerie énergétique à travers le monde :
1777 – Georges LICHTENBERG (Allemagne) réalise les premiers essais
1786 – Le médecin français BARADUC découvre le procédé mais ne l’exploite pas
1900 – TESLA (USA) développe des travaux importants
1934 – Les époux KIRLIAN (URSS) réactualisent le procédé et obtiennent l’aide de l’académie des sciences soviétiques de 1960 à 1971 (décès). Plus tard le procédé est repris par Victor ADAMMENKO
1965 – Le procédé est introduit aux USA par Telma MOSS et par MILER et SMART en Angleterre.
1971 – Georges HADJO (France) devient l’un des pères de l’électrobiophotographie
1975 – Hubert REEVES (France) avance l’intérêt pratique de cette méthode par rapport aux contraintes de certains matériaux.
1977 – V. ROMANII (URSS) étaye largement la méthode
1978 – MENDEL et LERNER établissent la relation avec les méridiens d’acupuncture au congrès médical de biothérapie. A la même époque, le docteur Lambin DOSTROMON développe la spectrographie corpusculaire (Turenne)
1980 – Jean MARS, physicien et chercheur indépendant interprète grâce à ce procédé les paramètres d’Émile PINEL (communication à l’académie des sciences) et a continué ce travail jusqu’en 2012
Pour qui ? Pour quoi ? Quand ?
Le bilan énergétique Bio-Well peut être proposé au début de chaque rendez-vous afin de voir où en sont vos fonctions physiologiques, votre système nerveux autonome, vos méridiens, vos centres d'énergie, votre stress, votre état psycho-émotionnel, votre niveau énergétique global.
Il pourra aussi servir de suivi entre différentes thérapies que vous aurez entrepris pour améliorer votre bien-être.
De plus, à la fin de chaque bilan, grâce à une analyse du logiciel, une bouteille d'eau informée et une musique binaurale personnalisée vous seront données afin de poursuivre votre rééquilibrage vital et émotionnel à domicile (merci d'amener une bouteille d'eau de qualité et une clé USB). Je vous indiquerai comment les utiliser.
Comment se passe une séance
Tout d'abord, afin d'obtenir les informations les plus fiables possibles, il est souhaitable de respecter les précautions suivantes:
- Ne pas avoir mangé depuis une heure et demi au minimum
- Ne pas se laver les mains ni utiliser de gel hydroalcoolique 20mn avant (l'appareil est désinfecté entre chaque personne)
- Pour les femmes : avoir les ongles assez courts, éviter de venir pendant les périodes de lunaison, ne pas porter de bijoux aux doigts (sauf l'alliance) ni de bracelet métallique
Pendant la séance je vous expliquerai comment cet appareil fonctionne et comment placer vos doigts.
Puis nous observerons ensemble les résultats afin de comprendre l'information transmise par vos corps.
A partir de là, différentes propositions de soins pourront être envisagées : conseils naturopathiques et hygiène électromagnétique, cohérence cardiaque, soins bioénergétiques, neurofeedback, écoute de sons binauraux via le Biocor, expertise géobiologique...
Cet appareil ne fait pas de diagnostic et ne se substitue pas à une visite chez le médecin.
Recommandation générale : l'utilisation du Bio-Well est déconseillé aux porteurs d'un pacemaker.
« Si un patient désire recouvrir la santé, il faut d’abord lui demander s’il est prêt à éliminer les causes de sa maladie, à ce moment seulement lui est-il possible de guérir »
Dr Catherine Kousmine
« Il faut toujours remonter à la cause, et à la cause des causes »
Hippocrate
« Les cellules saines émettent spontanément un rayonnement ultraviolet de faible intensité de 400 nanomètres capable de réparer les dégâts génétiques »
Dr Fritz Albert Popp
Pour en savoir plus
Des études scientifiques sur l'EPI/GDV ont été menées pendant plus de 20 ans dans un grand nombre de pays du monde entier. Les résultats des recherches scientifiques ont été publiés dans des revues spécialisées dans différents domaines : psychologie, médecine, médecine alternative ou intégrative, sport, études de conscience et autres. Des dizaines de doctorats ont été réalisés sur la base de la technologie EPI/GDV. La société Bio-Well essaie d'accumuler le plus grand nombre possible d'articles scientifiques et de thèses de doctorat de ce type.
https://bio-well.fr/publications/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=gas+discharge+visualization
« Les cellules et les molécules communiquent entre elles au moyen d’ondes hertziennes et cela explique bien des énigmes que la biochimie n’a jamais élucidées »
Pr Sung en collaboration avec H.A. Fischer (institut Paul Ehrlich de Frankfurt)
« Chaque cellule comporte une centriole (à la fois mini-ordinateur et mini-internet) qui dialogue en permanence avec des références extérieures, générant ainsi à tout moment des réactions d’adaptation et d’évolution : c’est le principe des champs morphogéniques »
Jacqueline Bousquet, Chercheur au CNRS